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Blog Arts plastiques
Depuis janvier 2021, Saint Barthélemy s’est équipé de film protecteur antimicrobien sur les différentes poignées de portes et lieu de passage. L’efficacité encore démontrée dans l’étude jointe nous rassure en plus de notre équipe de ménage ABSOLU NETTOYAGE au fait de la désinfection quotidienne.
Une situation réelle a été créée en concentrant l'étude sur des surfaces fréquemment touchées dans six chambres de patients, trois dans le service chirurgical et trois dans le service médical. Plus précisément, les tables de lit, les tables de chevet, les accoudoirs des chaises des patients, les tables à manger, les sièges de toilette et les poignées de chasse d'eau ont été inclus. Le film CLEAN ZONE PROTECT PURZON060B traité Sanitized a été appliqué sur la moitié de la surface, tandis que l'autre moitié est restée dans son état d'origine et a servi de surface de contrôle.
Pendant l'étude qui a duré plusieurs mois, les chambres des patients ont été nettoyées normalement une fois par jour et les salles de bain ont été désinfectées une fois par jour. Des prélèvements de surfaces traitées et non traitées ont été réalisés deux fois par semaine sur une zone de 25 cm2 et soumis à une analyse des micro-organismes. Le nombre de microbes a été déterminé par étalement sur des milieux de culture, et les isolats ont été examinés à la recherche d'agents pathogènes cliniquement pertinents tels que Staphylococcus aureus (y compris le SARM).
Au total, 403 prélèvements ont été analysés. Le film CLEAN ZONE PROTECT a conduit à une réduction du nombre total de germes viables de 98,4 % sur les six types de surfaces différents. La réduction la plus importante a été mesurée sur les sièges de toilette et sur les poignées de chasse d'eau (99 %). L'effet à long terme du film adhésif a été confirmé en répétant la mesure après six mois.
« Les résultats de l'étude montrent que les surfaces traitées aux antimicrobiens peuvent apporter une contribution précieuse à la prévention de la propagation d'agents pathogènes multirésistants dans les hôpitaux. Même la désinfection quotidienne des surfaces ne peut empêcher la recontamination en quelques heures : les surfaces antimicrobiennes peuvent combler cette lacune. », explique le Prof. Dr. Andreas Widmer.
